Le TDAH, c’est quoi ?
Les explications générales ?
Le TDAH est un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, est un trouble du neurodéveloppement caractérisé par trois type de symptômes pouvant se manifeste seuls ou combinés. C’est un trouble courant qui affecte principalement les enfants, bien qu’il puisse également persister à l’âge adulte. Depuis quelques années des adultes sont diagnostiqués TDAH après avoir passé des mois ou des années dans des souffrances existentielles non expliquées.
Les personnes atteintes de TDAH ont du mal à se concentrer, sont souvent hyperactives et impulsives. Cela peut entraîner des difficultés dans divers aspects de la vie, tels que l’école, le travail et les relations interpersonnelles. Le TDAH peut être diagnostiqué, Il est important de consulter un professionnel de la santé pour un diagnostic précis et des conseils adaptés.
(Parfois difficile, car pas de spécialistes, selon l’endroit ou vous vivez) par un professionnel. Il existe plusieurs approches de traitement disponibles, notamment des thérapies comportementales, des médicaments et des stratégies d’adaptation.
Il existe aussi l’hyperactivité cérébrale, également connue sous le nom d’hyperactivité neuronale ou trouble psychique neurodéveloppemental, se réfère à une activité excessive dans le cerveau. (Accro au téléphone, au RS ou ordinateur, jeux vidéo, longues lectures sur le téléphone pour s’informer des actualités du monde…). Cela peut se manifester par une sur-stimulation des neurotransmetteurs, des signaux électriques anormaux ou une augmentation de l’activité métabolique dans certaines régions du cerveau. L’hyperactivité cérébrale peut être associée à divers troubles neurologiques et psychiatriques tels que le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), l’épilepsie ou l’anxiété.
Vivre en couple avec un conjoint atteint de TDAH
La vie avec une personne avec un TDAH peut présenter des défis, mais il existe des stratégies pour mieux gérer la situation.
Voici quelques conseils:
1. Éduquez-vous sur le TDAH : Apprenez autant que possible sur le TDAH, ses symptômes et ses implications. Cela vous aidera à mieux comprendre les comportements de votre partenaire et à les aborder de manière plus empathique. (L’empathie est la bienveillance bien sûr est une solution mais votre patience sera mise à dure épreuve, car le manque de respect dû à son comportement incontrôlé envers vous sera souvent au rdv)
2. Communiquez ouvertement : La communication est essentielle dans toute relation, mais elle est d’autant plus importante lorsque l’un des partenaires a un TDAH. (Difficile lorsque la conversation que vous souhaitez partager est automatiquement coupée par l’autre, malgré le fait que vous lui avez plusieurs fois signaler le fait !) Soyez ouvert et honnête dans vos conversations, exprimez vos besoins et vos préoccupations, et encouragez votre partenaire à faire de même (bonne chance, car souvent il/elle dira oui je comprend, ou pardon je recommencerai plus. Mais ça ne marche pas si facilement et ce reproduit dès que vous tentez de communiquer). Communication et organisation : Les difficultés de communication et d’organisation associées au TDAH peuvent également influencer la vie sexuelle (voir le paragraphe sur la sexualité).
3. Encouragez le traitement : Soutenez votre partenaire dans sa gestion du TDAH, notamment en l’encourageant à suivre un traitement approprié, qu’il s’agisse de médicaments, de thérapie ou d’autres approches. Le traitement peut aider à réduire les symptômes et à améliorer la qualité de vie. (Difficile, il/elle peut refuser le traitement ou refuser que vous l’accompagner à ses rendez-vous médicaux. Ne lui laissez pas le choix, accompagnez-le et poser les questions qui vous concernent pour obtenir des conseils du/des professionnels).
4. Structure et organisation : Établissez des routines et des structures pour aider votre conjoint à gérer son emploi du temps et ses tâches quotidiennes. Utilisez des rappels visuels, des listes et des calendriers pour l’aider à rester organisé. (Difficile, il/elle peut refuser votre aide concernant son organisation personnelle… « Je suis pas débile…je vais y arriver… »).
5. Gestion du stress : Le TDAH peut parfois générer du stress. Encouragez votre conjoint à adopter des techniques de gestion du stress telles que l’exercice physique, la méditation ou la thérapie. (Difficile comme pour l’organisation personnelle, il/elle n’acceptera peut-être pas que vous l’encouragiez à faire des activités dont il n’a pas l’habitude de pratiquer).
6. Support professionnel : Encouragez votre conjoint à consulter un professionnel de la santé spécialisé dans le TDAH, comme un médecin ou un psychologue, qui pourra proposer des stratégies de traitement et de gestion. (Difficile, il/elle peut refuser votre aide concernant son activité professionnelle… « Je suis pas débile, je sais ce dont je suis capable… je vais y arriver… »).
7. Patience et compréhension : Faites preuve de patience face aux symptômes et aux comportements liés au TDAH de votre conjoint. Rappelez-vous que le TDAH est un trouble neurologique et non un choix. (Attention il/elle pourra souvent dire « c’est pas ma faute, c’est mon TDAH… »). Soyez compréhensif : Le TDAH peut entraîner des difficultés dans divers aspects de la vie quotidienne, comme la concentration, (Attention, il/elle a de l’attention pour ce qui l’intéresse, voir le paragraphe sur l’hyperactivité neuronale), l’organisation et l’impulsivité. Faites preuve de patience et de compréhension envers votre partenaire, et évitez de prendre les symptômes du TDAH comme des signes de désintérêt ou de négligence. (Si vous constatez que l’aide quotidienne que vous lui apporter ne fonctionne pas, n’hésitez pas à vous faire aider, voir le/les professionnels qui le ou la suivent).
8. Soutien mutuel : Cherchez un soutien auprès de groupes de soutien, (demandez les informations sur les lieux de soutiens au professionnel qui à diagnostiqué le TDAH) de thérapeutes ou de professionnels de la santé mentale spécialisés dans le TDAH. Cela peut vous aider à mieux gérer les défis qui se présentent. Soyez patient et compréhensif : Le TDAH peut entraîner des difficultés dans divers aspects de la vie quotidienne, comme la concentration, l’organisation et l’impulsivité. Faites preuve de patience et de compréhension envers votre partenaire, et évitez de prendre les symptômes du TDAH comme des signes de désintérêt ou de négligence.
9. Cherchez un soutien extérieur si nécessaire (Thérapeute de couple ou psychologue, voir sexothérapeute si vous souffrez du comportement sexuel du ou de la conjointe).
RE : Si vous rencontrez des difficultés persistantes, envisagez de consulter un professionnel de la santé mentale spécialisé dans le TDAH. Ils peuvent vous aider à développer des stratégies adaptées à votre situation spécifique.
Rappelez-vous toujours que chaque relation est unique, et il est important de trouver des stratégies qui fonctionnent pour vous et votre conjoint.
10. Si après tous ces conseils rien ne change, si la personne ayant le TDAH ne mobilise pas toutes sa volonté pour ce venir en aide et pour respecter et soutenir le conjoint qui met tout en œuvre pour l’aider à conscientiser sa situation ; mon conseil personnel, dans la mesure ou cela est possible est de vous éloigner (de faire un break, dans la famille ou ami-es) le temps de voir si les choses changent
La sexualité et le TDAH ?
Le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) peut potentiellement avoir des répercussions sur la sexualité d’une personne, mais cela varie d’une personne à l’autre. Voici quelques points à considérer :
1. Concentration et distraction : Les personnes atteintes de TDAH peuvent avoir des difficultés à se concentrer, ce qui peut affecter leur capacité à rester attentives pendant les activités sexuelles. Cela peut rendre plus difficile le maintien de l’attention et de l’excitation. (Il/elle peut se contenter de masturbation sans vous demander de participer. La masturbation personnelle est naturelle, mais elle devient pathologique lorsqu’elle n’est jamais partagée).
2. Impulsivité et comportement risqué : Le TDAH est souvent associé à une impulsivité accrue, ce qui peut conduire à des comportements sexuels risqués ou impulsifs. Il est important de prendre des précautions et d’adopter une approche responsable de la sexualité pour prévenir les conséquences négatives. (Faut-il encore pouvoir en parler !).
3. Estime de soi et image corporelle : Les personnes atteintes de TDAH peuvent éprouver des problèmes d’estime de soi et d’image corporelle, ce qui peut influencer leur confiance et leur satisfaction sexuelle. Un soutien émotionnel et une communication ouverte avec un partenaire peuvent être bénéfiques. (Faut-il encore qu’il/elle accepte de discuter de ces besoins ou envies sexuelles différentes de son habitude).
4. Communication et organisation : Les difficultés de communication et d’organisation associées au TDAH peuvent également influencer la vie sexuelle. Il est important de communiquer ouvertement avec son partenaire, d’exprimer ses besoins et de trouver des stratégies pour faciliter la planification des activités sexuelles. (N’hésitez-pas si vous en avez envie à lui exprimer vos besoins et vos envies sexuelles, surtout si elles sont nouvelles par rapport à votre d’habitude).
Le TDAH, la consommation d’alcool ou de stupéfiant.
L’utilisation d’alcool et de cannabis peut avoir des effets différents sur les personnes atteintes de TDAH. Le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) est une condition médicale qui peut affecter la capacité d’une personne à se concentrer et à contrôler ses impulsions. (Faut-il encore qu’il/elle ai parlé de ses addictions à son médecin traitant ou son spécialiste TDAH).
En ce qui concerne l’alcool, il est important de noter que la consommation excessive d’alcool peut avoir des effets négatifs sur la concentration et l’attention, ce qui peut aggraver les symptômes du TDAH. De plus, l’alcool peut interagir avec les médicaments prescrits pour le TDAH, ce qui peut être dangereux. Il est donc recommandé aux personnes atteintes de TDAH de consulter leur médecin avant de consommer de l’alcool. (L’alcoolisme festif est souvent courant, donc l’alcoolisme et l’addiction sont niés).
En ce qui concerne le cannabis, il existe des recherches limitées sur son effet spécifique sur les personnes atteintes de TDAH. Certaines études suggèrent que le cannabis peut réduire les symptômes d’hyperactivité et d’impulsivité chez certaines personnes atteintes de TDAH, mais cela peut varier d’une personne à l’autre. Cependant, il y a également des préoccupations concernant les effets négatifs du cannabis sur la mémoire, (Surtout s’il est associé à la consommation d’alcool régulier) la motivation et la santé mentale, qui peuvent être particulièrement pertinents pour les personnes atteintes de TDAH.
Il est important de noter que l’utilisation de substances comme l’alcool et le cannabis ne constitue en aucun cas un traitement médical pour le TDAH. Si vous ou quelqu’un que vous connaissez êtes atteint de TDAH et envisagez d’utiliser ces substances, il est essentiel de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils appropriés.
Il est essentiel de comprendre que chaque personne atteinte de TDAH est unique et peut avoir des expériences différentes. Si vous avez des préoccupations spécifiques concernant votre sexualité en lien avec le TDAH, il peut être utile de consulter un professionnel de la santé, tel qu’un médecin ou un psychologue spécialisé, et un thérapeute de couple ou sexothérapeute qui pourra vous offrir un soutien adapté à votre situation, sur du long terme.
Source des informations en noir – IA Génie
Conseils, expériences et avis personnels, texte entre parenthèse.
Randal DO.